Un des critères d’une vie épanouie est la “liberté”. Faire ce que je veux, avec qui je veux, quand je veux.
Et on a tous l’impression de faire ses choix librement. Mais est-ce vraiment le cas?
Vous entendez souvent les enfants en bas âge demander “Comment tu trouves mon dessin?” ou “Lequel tu préfères?” Et lentement, ces questions innocentes, deviennent le centre d’un processus de décision qui peut nous suivre toute notre vie.
- “Tu penses quoi de mon nouveau job?”
- “Est-ce que je devrais démarrer cette nouvelle entreprise?”
- “Que penses-tu de ma compagne?”…
Voici 4 idées pour s’extraire du culte de la validation externe et développez son système de validation interne?
1.Etre proactif : Se remémorer constamment. Notre éducation, notre société, notre culture, notre clan nous pousse inconsciemment vers plus de validation externe. Pour renverser la tendance, il faut être proactif.
2.Définissez d’abord ce que “succès” veut dire pour vous. Je suis sur le point de créer mon entreprise. J’ai pris un moment de réflexion personnelle pour décrire ce que réussir voulait dire pour moi. Je le résume ainsi.
- Travailler de 4 à 6 heures par jour.
- Travailler à domicile.
- Me concentrer sur les activités que j’aime.
- Utiliser la puissance de l’internet.
- Être un “Solopreneur” (pas d’employés).
- Gérer la croissance pour m’assurer que je reste dans le cadre de ces principes.
C’est certainement différent pour beaucoup d’autres personnes. Mais ces quelques mots me permettent de définir ce que “réussir” veut dire pour moi maintenant. C’est mon tableau de bord interne.
3.Faites le travail d’abord. Nous sommes des êtres de relations. Nous avons besoin du contact des autres. Mais sélectionnez bien à qui vous demandez et faites votre introspection avant. Vos échanges seront de meilleures qualités et vous gagnerez des feedbacks qui vous aideront à améliorer votre réflexion personnelle. Vous ne papillonnerez pas d’avis en avis.
4.Quand quelqu’un vous demande. Retenez- vous. Votre objectif est de l’aider à retrouver son système interne de pensée. J’aime retourner la question à mes enfants:
” Et toi c’est lequel ton préféré?”
“Pourquoi c’est ton préféré?”
Ou à un ami qui me demande s’il devrait prendre un nouveau job.
- “Tu en penses quoi toi?”.
- “Dans 3 mois tu dirais que c’était une bonne décision si quoi?”
Et rappelez-vous.
On a tous le choix d’être libres. Mais cette liberté a un prix. Le prix de la réflexion personnelle.
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