Vous est-il déjà arrivé de faire une erreur qui a dégénéré ? Voici comment briser le cycle.

Vous êtes au milieu d’une présentation importante et une question vous déstabilise. Vous essayez de reprendre, mais vous n’êtes plus dans le coup. Votre public le sent.

Vous jouez une partie d’échecs très serrée, vous faites une erreur et perdez votre reine. Dans la précipitation, votre prochain coup est également mauvais.

Pourquoi cela se produit-il ?

Le premier faux pas crée un moment de confusion. Nous avons fait une erreur.

Poussés par l’ego, la peur, la colère, notre première réaction est de nous précipiter. Ces émotions sont rarement de bonnes conseillères, et elles transforment souvent une situation complexe, mais encore gérable, en une situation chaotique.

Comment briser le cycle ?

• Respirez profondément. Si la situation le permet, fermez les yeux, faites quelques pas, mettez-vous de l’eau sur le visage… faites quelque chose qui vous ramène à l’instant présent.
  
• Reconnaissez votre erreur. Reconnaissez votre erreur. Dites-vous que vous allez la traiter plus tard et en tirer des leçons. Si possible, prenez une note rapide de l’erreur sur n’importe quel support. Cela libérera votre esprit et vous gagnerez en clarté sur ce qui doit être fait maintenant. Passez du “Pourquoi ai-je fait ça ?” au “Comment puis-je tirer le meilleur parti de cette situation ?”.
  
• Examinez toutes les options qui s’offrent à vous. Dans de nombreuses situations, nous avons plus d’une option. Passez-les en revue rapidement. Votre erreur précédente a changé le contexte. Vous devrez peut-être adapter votre plan.
  
• Réfléchissez, mais pas trop. La peur peut vous paralyser. Il n’est pas utile de ressasser les mêmes idées. Faites vos différentes itérations et passez à l’étape suivante.

Ce n’est pas la première erreur qui pose problème – nous faisons tous des erreurs – c’est la façon dont nous y réagissons qui est la clé.
Les leaders qui adoptent un état d’esprit de croissance ont 44 % plus de chances d’être perçus comme efficaces. (Source : Harvard Business Review)

Vous pouvez terminer votre présentation en beauté et transmettre vos idées.
Vous pouvez encore gagner la partie d’échecs.

Dans un cas complexe, le calme peut vous sauver du chaos.
Restez calme. Pensez clairement. Relevez-vous plus fort.

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