Qu’est-ce qu’il nous faut pour être heureux?
En théorie. Rien. Juste apprendre à apprécier les choses telles qu’elles sont.
Qu’est-ce qui peut contribuer au bonheur?
Quand on pose la question à Marshall Goldsmith, il répond :
- La santé.
- Les relations.
- Trouver notre “assez”
C’est quoi son “assez”?
C’est ce qu’il nous faudrait pour ne plus être obligé de travailler pour l’argent.
On pense souvent que c’est …
- Trop compliqué à calculer
- Qu’on le fera plus tard ( ce qui revient à dire jamais)
Peut-être est-ce un sujet qui nous fait peur.
Car si on trouve son “assez” est ce qu’on continuera à faire ce qu’on fait?
Ne pas le connaître, c’est inconsciemment, laissé notre cerveau crée des pensées comme :
- “De toute manière, je suis obligé de le faire.”
- “Je dois continuer à délivrer des résultats pour ne pas tout perdre.”
Clarifions la situation. Prenons 30 minutes pour le découvrir. Qu’importe ce qu’on en fera ensuite.
1/ Je veux continuer à faire ce que je fais :
J’aime mon job.
Connaître mon “assez” me permet de vivre mon travail plus sereinement. De moins me préoccuper des peurs courantes :
- Et si l’équipe, le site, le département était amené à disparaître
- Et si cela se passait mal avec mon nouveau patron.
De défendre mes convictions
Je dis ce que je pense. Une stratégie qui peut accélérer votre carrière
Je sais pourquoi je le fais.
Mon job, que j’ai choisi, est un moyen de me développer intentionnellement.
2/ Je veux changer de secteur
Nouvelle industrie, nouveaux marchés, nouveau pays…
J’ai moins peur de tenter, de prendre des risques.
3/ Je veux me réinventer complètement.
J’ai besoin d’une année sabbatique pour me retrouver et faire tout ce que j’ai mis de côté.
Dans son livre “Die with Zero“, l’auteur nous rappelle qu’on peut tout faire, mais pas à tous les âges.
J’ai envie de lancer mon rêve…
Ouvrir une maison de dégustation de thé indien, crée mon entreprise…
Connaître notre “assez” nous motive, nous libère et nous ouvre de nouvelles possibilités.
Comment le calculer en 30 minutes ou moins.
Souvent, on construit des tableurs super complexes pour essayer de le trouver. Et on n’y arrive pas toujours.
La réalité, c’est qu’on essaie d’avoir des certitudes là où il n’y en a pas.
Si vous utilisez les marchés financiers comme véhicule pour accélérer l’atteinte de votre “assez”, quoi que vous fassiez, vous aurez des inconnues dans votre équation comme:
- Combien de temps allez-vous vivre.
- Qu’est-ce que les marchés vont rendre dans le futur
- Comment l’inflation va-t-elle évoluer?
Alors oui, si cela vous rassure, vous pouvez tenter de minimiser toutes ces incertitudes avec plus de données, mais vous aurez largement le temps de le faire dans un deuxième temps.
Et si le bonheur était plus simple que nous ne le pensions ? Trouvons notre “assez” et vivons plus sereinement.
Pour commencer, je vous propose de prendre une feuille, un crayon et une calculette (même pas nécessaire) et de suivre les 2 premières étapes.
1/ Quelles sont mes dépenses annuelles?
- Prenez votre compte courant et regardez ce que vous avez dépensé sur les 3 derniers mois et faites une tendance sur l’année.
2/ Multipliez ces dépenses par 25
- Supposons que vous dépensiez 80 000 (votre monnaie) par an. Votre “assez” est 80 000 *25 = 2 000 000
3/Investissez ce montant dans une gestion passive via des ETF.
- L’objectif est d’en retirer (au moins) 4 % par an pour couvrir vos dépenses annuelles.
Cette façon de calculer est une base inspirée par l’étude Trinity. Pour en savoir plus, je vous recommande d’aller sur le site thepoorswiss.com et taper Trinity dans le moteur de recherche.
Baptiste est très pointu techniquement sur toutes les phases de l’indépendance financière.
Bien sûr, ce n’est qu’un premier jet, vous pourrez le peaufiner, introduire plus de variables, mais vous venez de construire votre première grande image.
Et c’est bien assez pour vous faire une idée.
Il y autant de gens que de formes “d’assez”
Pour certains “assez ”, c’est une réserve de 2 ans de dépense pour s’autoriser un break de 6 mois.
Pour d’autres, c’est plus de 25 fois les dépenses annuelles pour se sentir sécurisé.
Votre “assez” vous fera peut être peur, vous motivera, vous libérera.
Dans tous les cas, faire sa connaissance en vaut la peine.
Ce n’est que le début…
Maintenant que je le connais, qu’est-ce que je peux faire pour m’en rapprocher?
- Quelles options choisir?
- Comment je souhaite adapter mon style de vie?
- Quelles compétences dois-je apprendre pour tenter de l’exécuter ?
Profiter du moment
Notre “assez” est juste une information qui nous donne de la clarté.
Attention à ne pas en faire une fixation.
“Je serai heureux quand j’atteindrai mon assez”est une erreur de jugement.
Notre objectif est d’être heureux maintenant tout en poursuivant des rêves qui nous motivent.
Le résultat est moins important que la route qui nous y mène.
C’est sur le chemin qu’on apprend et qu’on se développe.
Conclusion
Ne pensez plus secrètement que c’est impossible, que vous êtes obligé.
Libérez-vous de cette charge mentale en affrontant la réalité.
Découvrez votre “assez” et gagnez en sérénité.
À bientôt.
Dror
PS : Dès que vous êtes prêt, voici 2 autres façons dont je peux vous aider à accélérer vos projets importants grâce au coaching :
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